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Le pandoro italien

Un éclat d’or pour traverser l’hiver.

Il existe des gâteaux qui n’ont rien besoin d’ajouter pour se faire aimer. Pas de fruits confits, pas de raisins, pas de décorations compliquées. Juste la lumière.

Le Pandoro italien, né à Vérone, porte bien son nom. Ce « pain d’or » a illuminé des générations de tables de Noël. On le posait au centre du repas comme on dépose une bougie : pour dire que même dans les nuits les plus longues, il restera une part de douceur.

Le pandoro, c’est l’élégance simple. Une pâte briochée riche en beurre et en œufs, levée lentement, très lentement, jusqu’à devenir une promesse de moelleux. Pas un ingrédient de plus. Rien qui alourdisse ou encombre. Le parfum vient du beurre, de la vanille et du sucre glace qui tombe dessus comme une fine neige d’hiver. Ce gâteau-là demande du temps mais jamais de complication. En Italie, les familles l’avaient toujours sous la main à Noël, tranché en grandes parts qui faisaient briller les yeux autant que le palais...

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Article publié dans Le Crestois du 12 décembre 2025

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