
Et si l’on redonnait le goût de la ville ?
Tribune de Rodolphe Dejour, pour le collectif Crest-on l’avenir
Dans cette lettre douce-amère, un citoyen rêve tout haut d’une Crest vivante et généreuse, où le commerce respire, où les rues s’animent, et où chacun, commerçant, élu ou habitant, joue sa note dans une même partition.
La lecture de l’article du Dauphiné Libéré daté du 25 avril dernier — « C’est nous qui nettoyons le pas-de-porte à cause des odeurs d’urine », de C. Berne — a retenu toute mon attention. Non pas pour m’indigner, mais pour réfléchir. Et surtout, proposer. Car ce combat, je le mène depuis longtemps : j’ai alerté, proposé, encore et encore, avec constance et passion, convaincu qu’il existe des solutions simples… à condition de les saisir ensemble.
...Tribune publiée dans le Crestois du vendredi 16 mai.