À la recherche du village perdu
Il faut savoir visiter le vieux Soyans. Car, au-delà du vieux village restauré qui a un charme fou, il faut chercher dans les ronces les ruines de constructions plus anciennes qui nous racontent la vie d'autrefois.
Il faut savoir visiter le vieux Soyans. Car, au-delà du vieux village restauré qui a un charme fou, il faut chercher dans les ronces les ruines de constructions plus anciennes qui nous racontent la vie d'autrefois.
La vie paysanne a souvent été rude. Celle de Mme Germaine Aubert à Soyans en témoigne.
Jadis, à l’entrée de Plan-de-Baix, se trouvait un café-restaurant tenu par la famille Lantheaume. Là, pendant la guerre, les résistants trouvèrent bien des complicités.
Les producteurs drômois de lavande ont terriblement souffert de la cicadelle, une mouche venue d'Afrique du Nord qui a ruiné les champs. Deux producteurs témoignent.
En 1944, les résistants de notre région vont grandement aider les troupes alliées en faisant sauter le pont de Livron. On trouve trace de cet évènement dans les archives filmées de l’armée américaine.
Alors que Saoû chante Mozart vient de débuter, voici un entretien avec son fondateur, Henry Fuoc, qui met en particulier l’accent sur l’âme de son village.
Les Voconces sont les lointains ancêtres des habitants du Diois et d'une partie du Val de Drôme. Que savons-nous d'eux ? Jacques Planchon, conservateur du musée de Die, lève un coin du voile.
Tout le monde dans notre région a entendu parler de l’auberge de Capoue tenue par Yvonne Caillet. Elle fut, pendant la dernière guerre, le quartier général de la résistance drômoise. Elle le raconte ici avec chaleur.
A Lozeron, pendant la guerre, deux jeunes juifs furent dissimulés dans un home pour enfants. Voici le témoignage en vidéo de Pierre Blum, l’un d’entre eux.