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"On veut criminaliser les mouvements sociaux"

Stéphane Trouille, l'un des quatre gilets jaunes drômois condamnés à de la prison ferme, répond à nos questions.

Stéphane Trouille fait partie des quatre gilets jaunes drômois condamnés à de la prison ferme suite aux manifestations du 8 décembre. Le 26 décembre, ce Saillanson de 41 ans a été jugé pour "violence en réunion sur personne dépositaire de l'autorité publique", et condamné à une peine de dix-huit mois d'emprisonnement, dont six avec sursis, ainsi qu'à une interdiction de manifester pendant trois ans (cf. nos articles du 21 décembre et du 4 janvier).

Avec deux autres prévenus, Stéphane Trouille a décidé de faire appel de ce jugement. Il s'en explique dans nos colonnes et revient sur son appartenance au mouvement des gilets jaunes.

Le Crestois : Pourquoi avez-vous décidé de faire appel ?

Stéphane Trouille : Je trouve que la sanction est disproportionnée par rapport aux faits qui me sont reprochés, et à ce que j'ai vécu le 8 décembre. Je conteste le verdict qui nous reconnaît coupables de violence sur personne dépositaire de l'autorité publique. Alors oui, j'ai bien commis des violences, mais pour moi, il s'agissait de défendre des gens qui se faisaient agresser...
(...)

La suite de cet entretien est à lire dans Le Crestois du 11 janvier 2019

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